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    Inclusion

    [Inclusion] A Cesson-Sévigné, des ateliers sur le B.A.-BA du smartphone

    Le 28 février dernier, la ville de Cesson-Sévigné et l’entreprise Orange ont signé une convention de partenariat pour lutter contre la fracture numérique. De quoi s’agit-il ? Alors que le smartphone est de loin, l’outil numérique le plus fréquent, certaines personnes, en particulier les seniors, en ont un usage encore parfois limité. Des ateliers permettront de se familiariser avec ce dernier.

    Une convention contre la fracture numérique

    Fin février, le maire de Cesson-Sévigné, Jean-Pierre Savignac, et Damien de Kerhor, Délégué Régional Orange Bretagne, ont signé une convention qui va faciliter la mise en place d’ateliers numériques gratuits.

    4 séances gratuites

    Concrètement, l’Espace Citoyen accueillera à partir de la fin mars, des ateliers, dispensés par l’entreprise Orange, pour apprendre à mieux utiliser son smartphone. Quatre séances d’1h30 sont ainsi proposées pour mieux appréhender son smartphone, comprendre son fonctionnement et savoir utiliser les principales fonctionnalités.

    Des ateliers adaptés pour les plus de 60 ans

    Les ateliers seront animés par des salariés volontaires d’Orange. Ils s’adressent à tous, en priorité aux seniors de plus de 60 ans, sans autre condition que de posséder un smartphone Android. De la fin Mars à la première semaine de Mai, ces quatre ateliers permettront d’atteindre des objectifs allant de la « prise en main Smartphone Android » ; « à la protection de ses données personnelles » ; mais aussi de découvrir « les réseaux sociaux » et enfin d’apprendre à « garder le contact avec ses proches » via plusieurs applications.

    Orange présent sur tous les fronts

    Ce n’est pas la première fois qu’Orange est impliqué dans un tel partenariat. Déjà, en novembre 2019, Paroles d’Élus s’était rendu à Château-Gontier pour découvrir une initiative similaire. Le délégué régional Orange des Pays de la Loire, Robert Mitu, nous avait alors expliqué leur ; »cœur de métier, c’est d’apporter les réseaux, mais c’est aussi de lutter contre l’exclusion des personnes face au numérique ».