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Sommaire de l’article
    Environnement & gestion des ressources

    « Mon réflexe zéro déchet » mieux  consommer en quelques clics

    Pour atteindre le zéro déchet. La région Ile-de-France mise sur la pédagogie.  Grâce à la plateforme« Mon réflexe zéro déchet », la collectivité se dote d’un nouvel outil pour accompagner la population  vers la transformation écologique et énergétique du territoire.

    Changer ses habitudes, ce n’est pas si compliqué

    Le saviez-vous ? On comptabilise 1545 fontaines à eau gratuites en Ile-de-France. Cette densité,  fait de ce réseau de fontaines urbaines le plus riche au monde. Autant dire qu’il y en a forcément une proche de vous. Grâce à la plateforme « Mon réflexe zéro déchet », elles sont aujourd’hui  facilement géo localisable. A la clé, une disparition progressive des bouteilles en plastique jetables.

    Des franciliens à la traîne

    Voici un exemple concret qui doit permettre, pour les élus d’aller vers une réduction massive des déchets. Il faut dire qu’en matière de recyclage, les parisiens ne sont pas franchement bons élèves. En effet, alors qu’un français trie en moyenne 70,4 kg de déchet par an, un francilien atteint péniblement 45 kg.

    Connaître les bonnes adresses, ça change tout

    Il y a donc une énorme marge de progrès. C’est pourquoi, cette plateforme a été conçue comme une encyclopédie. En répertoriant les différents organismes, associations, mais aussi les bonnes pratiques près de chez vous, la Région Ile-de-France souhaite rattraper son retard. Ainsi, outre les fontaines, on y trouve les magasins de vente en vrac, les boîtes à livres, les friperies, les ressourceries et autres cafés de réparations…

    12 millions de français

    « Mon réflexe zéro déchet », c’est aussi l’un des 8 services numériques mis en place par la Région Île-de-France, à utiliser « pour agir ensemble en faveur la transition écologique et faire de l’Île-de-France une région durable ». La Collectivité mise aussi sur l’organisation de challenges à relever pour « passer à l’action et évaluer ses progrès ». 12 millions de Franciliens sont potentiellement susceptibles de l’utiliser.