Numérique ou écologie, faut-il vraiment choisir ? LaREF numérique nous interroge
Plus connu sous le nom d’Université du numérique, cet évènement se transforme pour sa sixième édition et devient « LaREF numérique ». Tout au long de la journée, pas moins de 7 h de tables rondes et de keynote vous sont proposés en 100% digital.
Un paradoxe contemporain ?
Le confinement du printemps dernier a mis en avant un paradoxe. D’un côté il a fait immerger un prise de conscience sur les limites de l’ultralibéralisme et l’urgence de répondre aux enjeux environnementaux, de l’autre, il a fait exploser les usages digitaux très énergivores. D’où la question centrale de cette journée de réflexion : « Numérique ou écologie, faut-il vraiment choisir ? ».
7h de direct
Cette sixième édition s’inscrit dans les pas de la Rencontre des Entrepreneurs de France (La REF). Le but affiché est « de donner la parole aux acteurs influents du secteur, mais aussi aux pouvoirs publics, aux responsables politiques français et européens et aux entrepreneurs ». Bref, beaucoup de grands témoins interviennent toute la journée.
Nos usages sont-ils compatibles ?
Partant du constat que « la révolution numérique en cours fait-elle exploser les compteurs… électriques », la première table ronde se donnait pour objectif de répondre à cette question d’actualité « regarder youtube dans un ascenseur et trier ses déchets : injonctions contradictoires ? ». Beaucoup de sujets ont pu ainsi être abordés par les participants. Autour de la table, on retrouvait notamment Serge Orru, environnementaliste et préfigurateur de l’Académie du Climat ou encore le maire de Grenoble Eric Piolle.
Des interventions à regarder sans modération
Autre temps fort de la matinée, Bertrand Piccard, explorateur en série, psychiatre et ambassadeur des technologies propres est intervenu autour de cette question « le numérique, une solution pour les territoires ? ». Pour (re)voir les interventions de ce matin et profiter de celle prévues cet après-midi, rien de plus simple, cliquez ici