L’Auvergne, le bon coin où s’installer
Le vrai bon coin…c’est en Auvergne ! C’est en tout cas le message que veut faire passer l’Auvergne par une campagne de valorisation baptisée sobrement « l’Auvergne recrute » sur le site bien connu de revente. Explications.
13 millions de visiteurs uniques
Le Bon coin, c’était en 2020 près de 13 millions de visiteurs uniques. Derrière ce succès que l’on ne présente plus, une idée simple, quelqu’un près de chez vous, a ce que vous cherchez… En lançant une campagne de recrutements à l’échelle nationale sur ce même site, l’association « La Marque Auvergne » souhaite faire connaître les opportunités en termes d’emplois sur son territoire et attirer à elle de nouveaux talents. Rappelons en effet qu’avec l’Ile-de-France et la Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’Auvergne-Rhône-Alpes est dans le trio de tête des régions concentrant le plus grand nombre d’offres non pourvues.
Dites oui à l’Auvergne !
Un clic sur la bannière et vous voilà donc redirigés vers le site « auvergne.org ». Parmi les arguments mis en avant, le site table notamment sur les nombreux FabLabs et Tiers Lieux qui maillent le territoire auvergnat et, selon les commanditaires » dopent l’esprit d’initiative entrepreneuriale (…) et offr(ent) des solutions de flexibilité d’occupation aux télétravailleurs et d’agilité pour les jeunes entreprises ».
Un bureau avec vue sur les volcans ?
Et de lister, il est vrai, un grand nombre de structures de ce type. À commencer par exemple dans le Puy-de-Dôme, par Turing 22, ses 4.700 m² et, argument implacable…son rooftop avec vue sur les volcans. Mais ce n’est pas le seul lieu de coworking du département; l’Aigo Café, le Cowork’it ainsi que le FabLab et le DesignLab au coeur du Hall 32 (Centre de formation aux métiers de l’industrie unique en France), le Cowork & Com à Sayat ou bien encore le FabLimagne à Maringues vous attendent les bras ouverts.
De nombreuses structures
Le site détaille également la liste des ateliers partagés qui sont rattachés à des centres de formation ou des établissements scolaires comme par exemple le ProtoLab de l’Ecole d’Art de Clermont Métropole ou le SigMake rattaché à SIGMA, Ecole d’Ingénieurs, ouvert aux étudiants de l’Ecole Supérieure de Commerce (ESC) de Clermont et de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand (ENSACF).
Cantal pionnière des tiers-lieux
Mais impossible de parler « co-working » sans dire un mot sur le Cantal. En effet, le département est véritablement précurseur dans le domaine. Depuis de nombreuses années maintenant, la collectivité soutient un réseau de lieux permettant d’aspirer à un nouveau confort de vie grâce à une connexion très haut débit à la campagne. Là encore, la Marque Auvergne liste un plusieurs structures à l’instar de la Forge à Aurillac, de la Cocotte Numérique à Murat, de Poblab à Vic-sur-Cère ou encore d’OpenLab à Saint-Flour.
L’Allier également au rendez-vous
L’Allier n’est pas en reste avec ; « le FabLapalisse à Lapalisse, le FabLab de l’EcoCentre à Varennes sur Allier, AtAllier et Connecting Bourbon à Moulins, un espace de coworking à Bourbon L’Archambault avec Bocage numérique, un tiers lieu dédié au numérique à Vichy L’Étincelle ou encore un espace de coworking au lycée Paul Constans à Montluçon, unique en son genre ».
La Haute-Loire, terrain de jeu des entrepreneurs
En Haute-Loire, dans l’Agglomération du Puy-en-Velay, on trouve aussi leFabLab de l’IUT baptisé Le lab du Pensio. Celui-ci propose les toutes dernières technologies de la fabrication numérique et de la réalité virtuelle. Pas très loin, la Brasserie du Digital et la résidence Green park, forment un pôle numérique et digital très attractif. Enfin, à Monistrol-sur-Loire, « l’espace de coworking 4puissance3 ouvre ses portes pour travailler en toute convivialité ».
L’auvergne, une marque et une association
Derrière cette démarche, on trouve donc « la marque Auvergne ». Cette dernière est une association dont l’objet est de participé à ; « l’attractivité collective (des) 4 départements pour que l’Auvergne continue à rayonner et à exister comme marque territoriale ». Aujourd’hui, elle fédère près de 450 adhérents, parmi lesquels se trouvent des collectivités bien évidemment mais aussi des entreprises, des associations mais aussi des particuliers.
