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Sommaire de l’article
    Applications & usages

    La Mission French Tech lance un nouvel appel aux startups de la GreenTech

    En ce mois d’avril, la Mission French Tech vient d’annoncer l’ouverture des candidatures pour sa 2e édition du programme d’accompagnement French Tech – GREEN20. De quoi s’agit-il ? Lancé en 2021, ce programme s’adresse aux start-up opérant dans le secteur de la « GreenTech ». Autrement dit, elles ont pour point commun de développer des solutions innovantes en faveur de la transition écologique.

    Une filière qui se structure

    Elles s’appellent Algama, Deepki, Ombrea ou encore Toopi. Avec 16 autres jeunes pousses, elles ont fait partie de la 1ère édition du French Tech Green20. Piloté par la Mission French Tech, en partenariat avec le Ministère de la Transition écologique, le programme leur a permi de bénéficier d’un accompagnement des services de l’Etat ; via notamment le réseau des « correspondants French Tech » ; mais aussi « d’une intégration dans la diplomatie économique, d’actions de visibilité et d’un accompagnement spécifique sur les enjeux Greentech ».

    Des critères précis

    Fort du succès rencontré l’an dernier et de l’intérêt manifesté par les startups pour ce type d’accompagnement, une 2èmeédition vient d’être lancée en ce début avril. Les startups intéressées ont jusqu’au 6 mai pour déposer leur dossier de candidature. Pour être sélectionnées, elles devront répondre à différents critères, parmi lesquels d’être basée en France ; de proposer une innovation de rupture en faveur de la transition écologique ; mais aussi d’avoir « un niveau très élevé de différenciation par rapport aux solutions existantes ». Autre critère impératif, leur innovation « doit également avoir la capacité d’être déployée à grande échelle ».

    13 domaines d’actions

    Dans son appel à projets, la Mission French Tech précise également que l’innovation doit répondre à au moins l’un des enjeux de France 2030. Et de citer une longue liste de domaines allant de l’hydrogène décarbonée, aux batteries en passant par le verdissement du numérique, la décarbonation de l’industrie et le recyclage ou encore une meilleure gestion des métaux critiques durables, etc. En tout, 13 domaines d’actions sont ainsi cités.

    Une première levée de fonds nécessaire

    Autre critère déterminant, les startups candidates doivent avoir réalisé une levée de fonds d’au moins 500 000€ au cours des trois dernières années. Il est enfin précisé que le jury pourra la cas échéant « également retenir des projets connexes au périmètre France 2030 considérés comme à fort potentiel » ; comprenez par là, l’ « eau ou la lutte contre la pollution de l’air ».