« Je Sensibilise » transforme les experts de la Cybersécurité en bon pédagogue !
On ne le dira jamais assez, la cybersécurité est aussi une affaire de prévention et de sensibilisation aux bons gestes. Pour autant, être un bon spécialiste de la cyber ne veut pas dire forcément être bon pédagogue. Si Timéléon Tilmant a fondé Je Sensibilise, c’est justement a identifié une lacune cruciale : la formation des responsables de la cybersécurité néglige souvent cet aspect didactique et la création de programmes de sensibilisation efficaces. En tant qu’ancien responsable de la cybersécurité, il reconnaît d’ailleur n’avoir jamais été formé à ces compétences essentielles.
Une formation innovante pour les responsables de la Cybersécurité
« Je Sensibilise » se distingue donc en proposant la première formation dédiée aux responsables de la cybersécurité et de la sensibilisation. L’objectif est clair : fournir tous les outils pédagogiques nécessaires pour concevoir des programmes de sensibilisation, préparer le terrain et semer des graines qui, espère-t-il, germeront et conduiront à un changement de comportement chez les utilisateurs.
L’apport des sciences comportementales
Un autre pilier de l’approche de « Je Sensibilise » est l’intégration des sciences comportementales. Timéléon Tilmant souligne que pour modifier le comportement des utilisateurs, il est essentiel de comprendre le fonctionnement du cerveau. Les sciences comportementales offrent de nouvelles pistes pour sensibiliser différemment au quotidien, notamment par de petits gestes appelés « nudges » ou coups de pouce. Ces techniques permettent de rendre la sensibilisation plus accessible et plus efficace.
Une devise inspirante
« C’est en s’inspirant des uns qu’on inspire les autres », résume parfaitement sa philosophie. Dit autrement, il prône l’idée qu’il n’est pas forcément nécessaire de réinventer la roue. De nombreuses initiatives intéressantes existent déjà ailleurs ; « il suffit de les identifier et de les appliquer là où elles sont nécessaires » nous confiait-il lors du FIC. Cette approche pragmatique permet de tirer parti des meilleures pratiques et de les adapter aux besoins spécifiques de chaque organisation.
