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    Les 16ème Assises du THD vous donnent rendez-vous le 7 juillet prochain


    Le moins que l’on puisse dire, c’est que les événements et occasions de parler numérique et Très Haut Débit ne manquent pas. Prochain exemple en date, le 7 juillet prochain puisqu’aura lieu à la Maison de la Chimie à Paris, les 16ème Assises du THD.

    « Les nouveaux défis de la régulation »

    « Place aux usages ». Voici la thématique choisie par les organisateurs de cette 16ème édition des Assises du Très Haut Débit. Dès 8h45, il reviendra à Mireille CLAPOT, président de la Commission supérieure du Numérique et des Postes, de lancer cette journée de réflexions. Laure de LA RAUDIERE, présidente de l’Arcep interviendra également pour évoquer « Les nouveaux défis de la régulation ».

    C’est quoi le monde d’après ?

    Puis, dès 9h25, une première session intitulée « Bien finir le Plan France THD : pour la filière, c’est quoi le monde d’après ? » donnera notamment la parole à Philippe LE GRAND, président d’InfraNum. Il s’en suivra une table ronde, animée par Hervé RASCLARD, délégué général d’InfraNum. Dans cette séquence, il sera notamment questions de l’avenir de la filière industrielle mais aussi de celui de l’écosystème des RIP et des territoires intelligents. Interviendront tour à tour,Zacharia ALAHYANE, directeur programmes France Très Haut Débit et France Mobile de l’ANCT ; Pierre-Jean BENGHOZI, directeur de recherche au CNRS, professeur à l’Ecole polytechnique et à l’Université de Genève ; Antoine DARODES, directeur du département Investissements Transition Numérique de la Banque des Territoires et Ariel TURPIN, délégué général de l’Avicca.

    Le THD, mais pour quoi faire ?

    L’autre temps fort de cette matinée portera plus spécifiquement sur les « Usages » avec cette question « le THD, mais pour quoi faire ?». Alors que la France fournit « un effort considérable pour déployer le très haut débit sur tout son territoire avec la promesse que cet investissement serait un atout essentiel au service de la prospérité économique de notre pays, de son indépendance et de sa cohésion sociale (…) qu’en est-il aujourd’hui ? ». Et cette table-ronde d’interroger les intervenants sur différents points essentiels : « Cette promesse sera-t-elle tenue ? Le retour sur investissement sera-t-il au bénéfice de la France, des Français et de leurs entreprises ? Ou à celui d’acteurs extraterritoriaux ? La performance de nos réseaux ne risque-t-elle pas d’encourager notre dépendance vis-à-vis des grands acteurs hégémoniques du net ? ». Bref, vous l’aurez compris, autant de questions qui annoncent d’ores-et-déjà une séquence d’échanges passionnante.

    Et la 5G dans tout ça ?

    La troisième et dernière séquence de ces Assises portera plus spécifiquement une technologie qui part nature, appelle à une révolution des usages, à savoir bien évidemment la 5G. Un brin provocateur, cette table ronde est intitulée : « La 5G : simple palliatif à la couverture du territoire ou vraie révolution industrielle ? ». Dans le descriptif lié à cette session, les organisateurs de préciser : « qu’il est clair que l’on attend de la 5G beaucoup plus qu’un moyen de connectivité palliatif ou supplétif. Quels retours sur les expérimentations industrielles en cours ? Quel écosystème industriel est-il en cours de développement autour de la 5G ? Avec l’émergence de nouveaux acteurs ? De nouveaux modèles d’affaires ? Une nouvelle répartition des rôles et de la valeur ? Quelles conséquences sur la souveraineté industrielle de notre pays ? ». Pour vous inscrire, rien de plus simple, il vous suffit de cliquer ici.