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Sommaire de l’article
    Culture, patrimoine & tourisme

    Quand Toulouse ne respecte pas les règles… la ville Rose toujours en avant

    Pour notre 4ème dossier « Transformation Numérique », nous partons aujourd’hui en immersion dans la capitale de l’Ovalie…c’est-à-dire Toulouse bien évidemment. Et si les liens qui unissent cette ville à ce sport sont anciens, ils sont particulièrement vivants en ce mondial. Et pour cause. Saviez-vous qu’avec 10 joueurs sélectionnés, le stade Toulousain fournit à lui seul le plus gros contingent de l’équipe de France ? Ainsi, au côté de notre demi de mêlée Antoine Dupont, on trouve aussi les talonneurs Julien Marchand et Paeto Mauvaka, sans oublier Aldegheri, Baille, Cros, Flament, Jaminet, Ntamack et l’arrière Ramos.

    Mais comme vous avez déjà pu le constater dans nos précédents dossiers ; celui de Lille, St Étienne ou encore Nice, et bien qu’amoureux de sport et en particulier de rugby ; nous ne parlerons pas uniquement dans les lignes qui vont suivre de résultats sportifs. Ainsi, au programme d’aujourd’hui, il sera question d’infrastructure, d’esport, d’une association pas comme les autres, de 5G, d’open data, d’environnement et de start up, d’un lycée qui forme aux métiers du numérique ou encore d’une application de tourisme…

    Sommaire

    Occitanie, terre de Rugby avec Kamel Chibli, VP de la Région et membre du CA de France 2023

    Avec ses 70 000 licenciés, 400 clubs, 61 Boucliers de Brennus et tous ses villages qui vivent chaque week-end au rythme des matchs, l’Occitanie est plus que jamais LA Région du rugby. Durant ce mondial 2023, l’Occitanie a accueilli 5 matchs au Stadium de Toulouse et 3 équipes nationales ont choisi leur camp de base dans la région – le Japon à Toulouse, les Samoa à Montpellier et le Portugal à Perpignan. Pour en savoir plus sur la politique sport de la Région Occitanie, nous avons pu poser quelques questions à Kamel Chibli, VP de la Région en charge notamment du sport mais aussi membre du CA de France 2023, le Comité d’Organisation de la Coupe du Monde de Rugby 2023. Ce GIP – Groupement d’Intérêt Public est l’union de 3 forces : la Fédération Française de Rugby (FFR), l’Etat français et le CNOSF. Ces derniers ont mis en commun » leurs moyens pour assurer la livraison et l’héritage de l’événement ».

     

    Focus sur le Stadium

    Le Stadium de Toulouse a vu passer sur sa pelouse un grand nombre de compétions. Il fut d’ailleurs construit en vue d’accueillir certains matchs de la Coupe du Monde de la FIFA 1938. Depuis l’enceinte sportive a été rénové 3 fois et a pu de nouveau héberger des rencontres de la Coupe du Monde de Football 60 ans plus tard. Autre souvenir pour les amateurs de foot, il fut également choisi pour accueillir des rencontres de l’UEFA Euro 2016.

    Mais bien évidemment, ce stade historique est avant tout intimement lié au rugby. À l’instar de ce que représente le stade Vélodrome en foot, il est considéré comme le théâtre des grandes rencontres en Top 14 et en European Champions Cup.

    En remontant dans les archives, on découvre que le XV de France y a joué son premier match en décembre 1963 face à la Roumanie. Il s’est soldé par un match nul face sur un score que l’on a plus vu depuis longtemps : 6-6.

    C’est aussi dans ce stade que les Bleus, à 2 reprises, ont eu le dessus sur les All Blacks d’abord en 1977 (18-13) puis en 1995 avec une victoire des Français 22-15, grâce à des essais de Jean-Luc Sadourny, Richard Dourthe et Philippe Saint-André.


    Rugby & Occitanie en chiffres

    33 150, c’est le nombre de places au Stadium
    1938, c’est la date de création du Stadium de Toulouse
    3 ou le nombre de chantiers de rénovation que le stade a déjà connu
    70 000, c’est le nombre de licenciés de Rugby en Occitanie
    400 clubs, c’est le nombre de clubs de rugby en Occitanie
    1 Bouclier de Brennus sur 2 depuis sa création en 1892 a été gagné par une équipe régionale
    4 équipes d’Occitanie jouent en Top 14 (Castres Olympique, Montpellier Hérault Rugby, Stade Toulousain et USAP Perpignan), 3
    3 équipes féminines sont en Élite 1 (Stade Toulousain, Blagnac, Montpellier Hérault Rugby) 


    La Mêlée, facilitateur du numérique en Occitanie !

    Nous devons vous faire un aveu, chères lectrices et chers lecteurs de Paroles d’élus. C’est bien de l’association la Mêlée, installée depuis une vingtaine d’année à Toulouse que nous est venue l’idée de ces mini-dossiers « Transformations Numériques ».

    L’association se présente comme « le facilitateur Occitan du numérique ». Elle rassemble ainsi de nombreux utilisateurs et experts sur l’ensemble de la Région. Au cœur d’un écosystème particulièrement dynamique et innovant, La Mêlée est perçue comme un véritable laboratoire d’idées et de projets, un «think tank» et un «do tank».

    Elle organise aussi un grand événement. De quoi s’agit-il ? Chaque année, quand vient l’automne, la ville rose se transforme en une gigantesque scène du numérique et de l’innovation. La Mêlée Numérique est concrètement, un festival d’une semaine, dédiée aux professionnels et placée sous le signe du numérique responsable. À rayonnement nationnal, il était placé cette année, sous le parrainage de Bruno LE MAIRE, Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique et Jean-Noël BARROT, Ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications.

    Niveau programme, le festival est découpé en grandes thématiques, animées par des conférences, des tables rondes, des ateliers, des moments de networking, de convivialité.
    C’est un événement hybride et un rendez-vous B2B incontournable pour les acteurs intéressés par l’innovation et les usages du numérique en Occitanie.

    Décarbonner les transports avec … François Chollet, VP Transition énergétique à Toulouse Métropole

    Toulouse Métropole s’est fixé des objectifs ambitieux à atteindre pour l’horizon 2030. Présent lors du dernier Impact Cities Summit, François Chollet, Vice-président chargé de l’Ecologie, du Développement durable et de la Transition énergétique de Toulouse Métropole a présenté un état des lieux des initiatives mises en place par la Métropole afin d’illustrer son positionnement, notamment sur les questions des mobilités.

     

    Questions à…Victor Denouvion, Président de Haute-Garonne Numérique

    Si la 8ème édition de l’UTHD vient de refermer ses portes à Bourges, l’édition 2022 s’était déroulée à Toulouse. À cette occasion, Paroles d’élus avait pu rencontrer Victor Denouvion, Président de Haute-Garonne Numérique.

     

    Questions à…Bertrand Serp,Vice-Président de Toulouse Métropole

     

    Ekitia ou la valeur de la donnée

    En 2019 déjà Paroles d’Elus consacrait un long sujet à Occitanie Data. Cette association, portée par le Conseil Régional a été imaginée pour faire de l’Occitanie, un territoire de référence dans les domaines de la Data et de l’intelligence artificielle. Elle rassemblait alors 17 organisations issues du secteur public et du privé. Que s’est-il passé depuis 2019 ? Un nouveau nom tout d’abord, « Ekitia » mais aussi une nouvelle forme juridique. On vous en dit plus…

     

    Ce fut une petite révolution pour les membres et partenaires de l’ancienne association Occitanie Data. « Ancienne » ? Oui, car comme on peut en effet le lire sur le site de cette dernière : « aujourd’hui nous pouvons viser encore plus haut et amorcer une évolution indispensable pour Occitanie Data : sa transformation en GIP (Groupement d’Intérêt Public) ».

    Petit retour en arrière tout d’abord. Comme nous l’expliquait en effet son Président Bertrand Monthubert lors du lancement de l’association ; « L ’Occitanie est depuis quelque temps identifiée comme un acteur reconnu du Big Data et de l’Intelligence Artificielle (…) Notre objectif est aujourd’hui de renforcer cette position. Nous voulons faire de la Région, un territoire de pointe en matière d’économie de la donnée et d’intelligence artificielle ».

    Après 2 ans de travail collaboratif, les membres fondateurs de l’association, parmi lesquels on trouve par exemple ;« Agropolis International, Airbus, ATOS, Orange mais aussi le moteur de recherche Qwant (…) le CNES, l’Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, la COMUE Languedoc-Roussillon Universités, Météo France, le Pôle Aerospace Valley, la Région Occitanie et Toulouse Métropole » ; ont voté un changement de statut. Ce choix doit permettre de « donner plus d’importance au développement de l’économie de la donnée, notamment à travers la confiance et l’éthique ». Et de précisait que cette « forme juridique s’accompagnera d’un nouveau nom « Ekitia ». Celui-ci illustre nos nouvelles ambitions et la portée nationale, voire internationale, du futur GIP ».

    En deux ans d’existence, la structure a déjà acquis une sérieuse expérience. En effet, comme nous l’expliquait lors de son lancement Bertrand Monthubert, l’objectif premier de la structure était «de produire une charte éthique et un modèle économique, afin de fixer des règles d’échange et de partage de données entre nos partenaires ». S’attelant à cette mission, l’association a donc publié une charte éthique des usages de la donnée. Rare, il faut l’avouer, sont les documents de la sorte au niveau mondial. Grâce à une première version, disponible en ligne bien évidement, l’ancienne association aujourd’hui Ekitia peut « passer tous les projets IA et Data au crible de cette charte fondée sur huit grands principes ». Cette charte a été co-construite avec les experts data et éthique de l’écosystème mais également avec les citoyens au cours d’ateliers de co-construction citoyenne.

    ZeFil et vol de nuit

    Née de la volonté de la collectivité de se doter d’un réseau d’infrastructures numériques, la Société Publique Locale Zefil a vu le jour en 2013. Toulouse Métropole n’a de cesse, à travers son satellite Zefil d’aménager numériquement son territoire pour privilégier l’implantation des entreprises privées et publiques et d’assurer la pérennité de leur développement.

     

    Comme l’explique Madame Nicole Miquel Belaud sa Présidente : « A l’heure où la transition digitale est un enjeu vital pour les entreprises, Zefil permet une libre concurrence parmi tous les opérateurs télécom et se positionne comme le trait d’union entre les usagers finaux et ses clients opérateurs. C’est un atout pour les entreprises d’avoir la possibilité de s’installer sur un territoire solidement connecté avec une dynamique numérique réelle. Chaque jour, Zefil accompagne avec ses clients opérateurs, les entreprises et les collectivités locales en leur apportant leur solution fibre pour plus de performance, de rapidité et de proximité ».

    Focus sur Cyber’Occ, le centre d’expertise régional de la région Occitanie

    Afin de répondre aux nouveaux enjeux liés à la cybersécurité, la Région Occitanie a créé en juin 2022, le centre régional cybersécurité Cyber’Occ avec l’agence AD’OCC et l’association Ekitia, qui en sont les membres fondateurs. Pour en savoir plus, Paroles d’élus a pu poser quelques questions à Caroline de Rubiana, Directrice de Cyber’Occ.

     

    Avec « la start-up se met au vert », la ruralité fait le plein de jeunes pousses

    Profitons maintenant de notre présence en Occitanie pour découvrir un dispositif particulièrement intéressant, à savoir « la Start-up se met au vert – Occitanie ». Derrière ce nom se cache un programme d’émergence de jeunes pousses très particulier. Il vise en effet à accompagner le développement de start up implantées en milieu rural. Lancé en février dernier, 58 porteurs de projet et entreprises de moins de 6 mois ont ainsi été accompagnés par AD’OCC. Suite à 6 ateliers en présentiel, 12 porteurs de projets ont été choisis par le jury pour participer à l’accompagnement collectif, construit par les membres du RésO IP+.

    Artilec, Fablab pionnier en France

    Nous ne pouvions pas nous attarder sur les différents acteurs présents à Toulouse sans parler d’Artilec. Depuis sa création, l’association avait installé son fablab, Allées Maurice Sarraut, au Sud-Ouest de Toulouse, dans un ancien bâtiment industriel du quartier. En 2020, elle a déménagé en centre-ville. Si l’endroit est certes (beaucoup) plus petit, puisque la surface passe de 4000 m2 à 300 m2, la vitalité et l’envie de partager les savoirs n’ont pas elles diminuées d’un pouce.

    …A l’intérieur, nous sommes accueillis avec un grand sourire par Philippe Semanaz, l’un des FabLab Manager du lieu. Malgré un programme chargé et notre arrivée non prévue, il accepte de prendre un peu de temps pour nous faire visiter ce lieu unique qui porte le nom d’Artilect ; « c’est une association et c’est aussi un laboratoire de fabrication destiné au grand public et aux écoles. On y croise des artistes, professionnels, toutes les personnes qui ont envie de fabriquer quelque chose ». Il s’agit du premier Fablab ayant ouvert en France, dès 2009. « Au début, on a démarré dans une cave ». Cette initiative, on la doit Nicolas Lassabe, aujourd’hui encore président de l’association. « En rentrant d’une expérience professionnelle aux Etats-Unis, il a eu l’idée de rassembler des passionnés de l’électronique et de fabrication dans un lieu qui ressemblait à une petite salle de cours. Il a proposé de rassembler en un endroit toutes les compétences dans le domaine de la fabrication numérique, du code en un lieu. L’idée a plu à la mairie de Toulouse qui nous a trouvé un petit local. On a débuté avec trois machines, une découpeuse laser une fraiseuse et une petite imprimante 3D. D’une vingtaine de personnes passionnés, électroniciens, enseignants, l’asso a grossi progressivement ».

    A peine 3 ans plus tard, en 2012, le Fablab a donc déménagé dans un grand hall industriel situées aux abords des Allées Maurice Sarraut. Plus de 500 personnes sont adhérentes et plus de 800 personnes y gravitent pour des projets plus ou moins long. Depuis le début de l’aventure, plus de 4000 personnes ont pu bénéficier du FabLab. 8 ans plus tard, l’association change donc de lieu pour se rapprocher du centre-ville.

    A Artilec, rares sont les semaines où des curieux (comme nous) ou des porteurs de projets ne franchissent pas la porte ; « bien évidemment, des personnes viennent regarder notre manière de fonctionner, les rôles de chacun et plus globalement toutes les bonnes idées afin d’ouvrir par eux même un petit frère d’Artilect dans leur ville ou village. Avec les 15 ans de pratiques, on a pu tester beaucoup de chose et on a une petite idée de ce qui fonctionne plus ou moins bien » résume Philippe Semanaz. Est-ce que le public a changé depuis l’ouverture ? Sans nul doute. « Les premières années, quand de nouvelles personnes arrivaient chez nous, elles ne connaissaient même pas le nom des machines. Maintenant, avec l’essor des tutoriels, les personnes arrivent avec des questions très poussés : pour mon projet, il vaut mieux choisir du PLA ou de l’ABS ? (NDLR: deux types de fil utilisés dans les imprimantes 3D). Le niveau a réellement monté et souvent les gens viennent avec une idée préconçue de ce qui est faisable et ont déjà vu des choses réalisées ».

    Entre une découpeuse laser et une imprimante 3D, Philippe Semanaz nous présente une journée type au FabLab : « Le plus souvent, la matinée est réservée à de l’accueil de groupes. Ils peuvent venir de fac, ou d’écoles afin d’imaginer dans un premier temps ce qu’il est possible de faire ici et puis après de réaliser leurs projets. L’après-midi est plutôt réservé aux membres actifs. Le soir est ouvert aux bénévoles qui viennent réaliser leur projet selon des sections différentes. Il y a par exemple la section électronique, biofablab, design ». « Décloisonner notre société », le pari du fondateur est visiblement gagné…

    Augmented City, l’appli qui permet de découvrir la ville autrement

    Arrêtonsnous maintenant sur une application qui va vous permettre de découvrir la ville autrement. Il s’agit d’Augmented City. Très simple d’utilisation, elle révolutionne complétement l’approche des balades touristiques. Elle réussit en effet la prouesse de démocratiser la réalité augmentée. Et avec la 5G qui se déploie, les possibilités sont grandes…

    Voici une solution qui aurait eu toute sa place sur Paroles d’élus en juillet dernier alors que nous consacrions ce mois au duo tourisme et numérique. L’application vous propose concrètement une expérience culturelle interactive et immersive. Pour cela, pas besoin d’un lourd équipement, votre smartphone suffit. En effet, une fois l’application installée, il vous suffira de déplacer votre téléphone à 360° pour découvrir la ville comme vous ne l’avez jamais vue.

    Une fois lancée, l’aspect immersif est indéniable. En effet, chaque élément augmenté à l’écran permet d’accéder en plus à des histoires passionnantes. De quoi attiser des plus curieux. En effet, comme l’explique Orange, « N’hésitez pas à regarder dans les moindres recoins pour ne pas passer à côté d’un élément bien caché ».

    Si l’expérience est bien évidemment optimale en vous rendant sur place, vous pouvez néanmoins avoir un aperçu des possibilités offertes par Augmented City depuis votre canapé. En effet, une fois installée, l’application vous propose par exemple en ce moment trois balade. Vous avez le choix entre la découverte des circuits « Toulouse, l’inspirante » mais aussi « d’Anvers au fil de l’eau » ou encore du « Quartier de l’Opéra à Paris ».

    En Occitanie, le lycée Simone de Beauvoir forme aux métiers du numérique

    Terminons ce mini-dossier Transformation Numérique en parlant formation. Construit par la Région pour un montant de 49,5 M€, le tout nouveau lycée Simone de Beauvoir a accueillie 650 élèves pour cette première rentrée. À la pointe en ce qui concerne les économies d’énergie, il prépare aussi les élèves aux métiers du numérique.

    Comme l’a ainsi souligné la Présidente de Région lors de l’inauguration « Le lycée Simone de Beauvoir à Gragnague est à l’image des ambitions que nous portons pour notre jeunesse et nos territoires ». Mais pourquoi un tel investissement dans une commune d’à peine 2000 habitants ? Son ouverture comme l’explique Carole Delga va permettre justement « la diminution notable des temps de transport pour de nombreux jeunes et leur famille » habitants dans un périmètre proche.

    Outre ces économies de temps, cet établissement est ; « comme tous les lycées neufs ouverts par la Région depuis 2016 (…) à énergie positive, autosuffisant, arboré et à très faible impact sur son environnement ». Concrètement, il est chauffé à 100% par géothermie et fonctionne en autoconsommation.

    Et l’élue de poursuivre ; « par son architecture, la modernité de ses équipements et son offre de formation tournée vers les métiers du digital, mais aussi par son nom, le lycée Simone de Beauvoir est résolument tourné vers l’avenir, au service de la réussite des jeunes ».

    Car c’est une autre particularité importante de ce projet, il propose des formations spécialisées dans le domaine du digital. Ainsi, des formations techniques et professionnelles orientées vers les métiers du numérique y sont dispensées en plus des enseignements généraux. À terme l’établissement devrait accueillir un peu plus de 1 700 lycéens.